Bretagne à ciel ouvert
Rodolphe Marics est un poète-aviateur, adorateur des rivages bretons. Quand l’humeur lui chante et que le temps s’y prête, il enfourche sa monture et s’envole pour observer de là-haut les Lilliputiens s’agiter et les paysages l’enchanter. Et quand la beauté surgit, il cligne de sa focale pour s’en emparer et nous servir des vol-au-vent mémorables. Des instantanés à couper le souffle qui nous secouent comme un bain de mer, une claque de noroît ou un rayon de soleil sur un ciel anthracite. Il dépeint avec brio la Bretagne marine que l’on aime : impétueuse, tumultueuse, fière de sa beauté sauvage.
« Après de multiples voyages aériens dans plusieurs parties du monde, c’est en Bretagne que j’éprouve avec un plaisir sans cesse renouvelé le bonheur de survoler ces paysages aux mille nuances et aux variations infinies. C’est en Bretagne que j’ai découvert cette voie d’aviateur-photographe. Cet espace littoral si inspirant, émerveillement d’un voyageur aérien. »
Rodolphe Marics
35 €
La lectrice et l'impératrice
Lors de leur voyage en Bretagne en août 1858, Napoléon III et l’impératrice Eugénie viennent saluer les Malouins, parmi lesquels le célèbre amiral Bouvet* accompagné de sa petite-fille Amélia.
Amélia Carette écrira dans ses mémoires avoir été « éblouie » par l’impératrice, dotée d’une « harmonie complète entre la personne physique et la personne morale ». Eugénie, séduite à son tour par l’esprit et la belle prestance d’Amélia, lui proposera de devenir sa lectrice au palais des Tuileries.
Un rêve se réalise pour Amélia. Elle partage l’intimité d’une femme qu’elle vénère et découvre émerveillée la vie de cour. Elle participe à des bals somptueux, valse avec l’Empereur à l’exposition universelle de 1867, côtoie des personnages illustres... Distinguée pour sa beauté, elle est portraiturée par Alexandre Cabanel, figure en statue au château de Pierrefonds. Elle épouse Henri Carette, riche industriel et conseiller général de l’Aisne.
En 1870, le Second Empire vit ses dernières heures et sombre après la défaite de Sedan. Les Tuileries sont en feu, l’impératrice émigre en Angleterre, Henri Carette fait faillite... Mais Amélia saura relever les défis et gagnera son indépendance par la plume.
*Pierre Bouvet (1775-1860) servit dans la marine sous le Premier Empire. Son buste se dresse fièrement devant l’hôtel de ville de Saint-Servan.
22 €
Ces messieurs et ces dames de Saint-Malo
Découvrez la grande histoire de Saint-Malo contée par Marc Tardieu à travers huit récits palpitants.
« Ni Français, ni Breton, Malouin suis. »
La fameuse devise officieuse de Saint-Malo, brandie lors de sa déclaration d’indépendance (1590-1594), est restée dans les mémoires comme l’expression de sa singularité et de sa puissance. Elle nous rappelle que la ville fut, à son âge d’or, le premier port d’armement français et que, tout au long des siècles, ses enfants ont conquis le monde à la pointe de l’épée et de l’esprit.
Marc Tardieu nous brosse le portrait de onze personnages qui ont contribué à forger l’âme de Saint-Malo, à travers huit récits finement brodés sur une trame historique richement documentée. Écrivain et conteur talentueux, l’auteur a l’art de nous faire entrer dans l’intimité des personnages et de nous transmettre en douceur toute l’histoire malouine, du XIVème siècle à nos jours.
Jacques Cartier, René Duguay-Trouin, Charlotte Magon de la Lande, Robert Surcouf, François Broussais, Félicité de Lamennais, François-René de Chateaubriand, Guy La Chambre, Suzy Solidor, Jeanne Jugan et Amélia Carette.
14,50 €
Les forts Vauban de la baie de Saint-Malo : les sentinelles de la côte d'Émeraude
"Depuis plus de trois siècles, entre le cap Fréhel et Saint-Malo, sept sentinelles de pierre veillent sur nos côtes.
Quatre forts en mer (La Conchée, le Petit Bé, le Fort national, Fort Harbour), deux tours à terre (aux Ebihens et au cap Fréhel) et un aménagement défensif (sur le fort Lalatte), ont été construits par Vauban à la fin du XVIIe siècle pour protéger Saint-Malo et le littoral des invasions anglaises. Merveilles d’architecture militaire, elles se dressent fièrement sur leurs ergots rocheux, guetteurs d’océan pour l’éternité.
Leurs propriétaires, gardiens de la mémoire collective, ont à cœur de les préserver et de les entretenir pour les futures générations. Découvrez-les enfin réunies dans un seul ouvrage historique et photographique avec la collaboration de Stéphane Perréon, historien, spécialiste de Vauban, et de Florian Ecolivet, cinéaste et photographe."
Indisponible
Hauteville house
Hauteville House, la maison de Victor Hugo à Guernesey.
« Je suis né dans cet immense rêve de l’océan » Victor Hugo.
Le seul ouvrage photographique sur Hauteville House à Guernesey depuis sa rénovation en 2020. Découvrez la décoration inouïe de Victor Hugo sur les 1200 m2 de sa maison.
Après 18 mois de restauration, grâce notamment au mécénat de François Pinault, Hauteville House nous apparait dans toute sa splendeur. Victor Hugo acquiert Hauteville House à Guernesey en 1856 où il vit en famille jusqu’à son retour d’exil à Paris en 1870. Juchée sur les hauteurs, face à la mer, c’est « dans cet immense rêve de l’océan » de 1200 m2 qu’il puise l’inspiration d’écrire ses plus belles œuvres littéraires et poétiques. Il déclare être « né pour être décorateur » et invente une maison à son image où se déploie tout son génie romanesque.
Photographies Clotilde Audroing-Philippe, textes Edouard Launet, préface Olivier Rolin.
28,00 €
Les dames de la côte. Saint-Malo et ses villas.
Le seul ouvrage photographique sur les villas de Saint-Malo. Longez ces villas juchées devant l’océan et laissez-vous porter par l’élégance d’un autre siècle.
On connaît la cité corsaire mais pas la cité balnéaire. C’est pourtant proche des remparts de Saint-Malo, le long d’une digue-promenade de trois kilomètres, que défilent les "Dames de la côte". Apparues vers 1880, ces villas témoignent d’une audace architecturale époustouflante.
Photographies Clotilde Audroing-Philippe, texte Gaëlle Delignon.
Format beau-livre (28 cm X 21,5 cm), couverture souple avec rabats, 150 pages.
Indisponible
La Maison Radieuse de Le Corbusier à Nantes - Le village vertical
Le seul ouvrage photographique sur la Maison Radieuse de Le Corbusier à Nantes. Entrez dans le « village vertical » pensé par Le Corbusier, précurseur génial du bien-vivre.
Derrière sa façade colorée et graphique à la Mondrian, la Maison Radieuse de Le Corbusier, classée monument historique en 2001, abrite une conception révolutionnaire de l’habitat collectif. L’architecte avait tout pensé pour que l’individu, étalonné sur le Modulor, puisse s’y épanouir. Qu’en est-t-il près de 70 ans après sa construction ? Nous vous convions à la découverte d’un véritable « village vertical », à la fois convivial et confortable, moderne et écologique, expression du génie visionnaire de Le Corbusier.
Photographies Alejandro Gomez Vives, textes Florian Riffet.
Format beau-livre (28 cm X 21,5 cm), couverture souple avec rabats, 150 pages.
28,00 €
Les moulins à marée de la Rance et de la côte d’Emeraude au fil de l’histoire
Découvrez une quinzaine de moulins à marée nichés dans la vallée de la Rance.
La vallée de la Rance abrite le quart des moulins à marée français, soit une quinzaine de petits bijoux sertis dans un site naturel préservé. Marie-France Porte, agrégée d’histoire, nous retrace leur histoire, leur fonctionnement, leur rôle économique, la vie des meuniers... doublé d’un remarquable reportage photo. Une carte à la fin de l’ouvrage peut aussi vous guider dans l’idée de balades mémorables.
Textes Marie-France Porte, photographies Patrice Latron.
Format 26 cm X 19,5, couverture souple avec rabats, 100 pages.
25,00 €
Le Barrage de la Rance, héritier des moulins à marée, précurseur des énergies renouvelables.
Le barrage de la Rance a 54 ans mais son savoir est millénaire. Héritier d’une technologie ancestrale et précurseur des énergies renouvelables, le Barrage de la Rance utilise la même technologie que les moulins à marée nichées dans la Rance depuis le Moyen âge. Son histoire commence dès les années 1900, lorsque des ingénieurs cherchent à exploiter l’énergie des marées de la baie de Saint-Malo - dont le marnage est parmi les plus forts au monde - pour construire une usine marémotrice. Un défi relevé par l’ingénieur et le polytechnicien Robert Gibrat qui en 1945 invente pour EDF un principe de fonctionnement rentable à partir d’une turbine unique au monde. Il fédère les volontés pour entreprendre un chantier colossal salué par le monde entier. Près de mille hommes travaillent jour et nuit pendant six ans (1961-66) dans une enceinte érigée au milieu d’un estuaire sous des contraintes de courant inouïes. L’usine marémotrice de la Rance, inaugurée le 26 novembre 1966 par le général de Gaulle, devient, avec le Concorde, le France, le Redoutable ou la Citroën DS, l’un des fleurons de la technologie française des Trente glorieuses.
28 €
La faune sauvage de la côte d’Emeraude
Yvan Lebreton, chasseur d’images, nous dévoile ses plus beaux trésors de la vie animale.
La Côte d’Emeraude, du cap Fréhel à Cancale, recèle un nombre considérable d’espèces animales (Oiseaux, mammifères, libellules, papillons...) qu’Yvan Lebreton a su observer et photographier avec une grande maitrise. Découvrez un bestiaire unique et fascinant, merveille de couleur, de grâce et d’élégance.
Texte et photos : Yvan Lebreton.
Format beau livre (25 cm X 25 cm), couverture souple avec rabats, 160 pages.
35 €
Le Légué : le port endormi se réveille
Le Légué a été un port de pêche et de commerce actif jusqu'à ce que l'activité décline et disparaisse presque. Depuis les années 2000, de nouvelles entreprises se sont installées, des commerces ont ouverts, la réparation navale s'est développée, des bâtiments ont été restaurés et requalifiés, les bateaux de plaisance ont envahi la plupart des quais. Et surtout, les habitants de Saint-Brieuc et de Plérin descendent au port, lui redonnant vie. Les efforts des collectivités territoriales et de la CCI portent leurs fruits et donnent un avenir au port.
Alain Lamour connaît bien le Légué, sa géographie et ceux qui y vivent. Son ouvrage est une déambulation dans son histoire, le long des quais et des rues, jusqu'au bord de la mer. Son récit est enrichi de près de 500 photographies, pour le plaisir des yeux.
Indisponible
Castelbrac : la villa refuge des chercheurs de l'océan
L'hôtel Castelbrac, jadis la villa Bric-à-Brac, est riche d'une histoire passionnante. La villa est construite en 1860 par la famille anglaise Faber qui avait fondé Dinard dans les années 1850. Elle est ensuite acquise en 1875 par le colonnel Hamilton qui s'exclame en la visitant "My God what a bric-à-brac !" Le nom est resté et son emplacement exceptionnel - à flanc de falaise, au plus près de la mer - en fait l'une des villas les plus emblématiques de Dinard. Le Muséum national d'Histoire naturelle l'acquiert en 1935 et y ajoute un bâtiment abritant une station marine de recherche et un aquarium public. La villa devient un haut lieu de la recherche scientifique française et une source d'inspiration pour de nombreux chercheurs, dont le commandant Charcot. Un enfant du pays rachète l'ensemble en 2010 pour en faire un hôtel cinq étoiles dans le respect de l'esprit des lieux.
18 €
Les moules de bouchot de la baie du Mont-Saint-Michel — Une formidable épopée de 1953 à nos jours !
Jean-François Delaunay, historien et enfant du pays, a mené pendant trois ans un formidable travail d’investigation sur l’histoire de la mytiliculture dans la baie du Mont-Saint-Michel.
Au milieu des années 1950, des hommes intrépides entreprennent de cultiver des moules dans la Baie du Mont‐Saint‐Michel.
Un défi relevé par des charentais et des vendéens venus prêter main forte aux Bretons. En quelques années, au prix de nombreux efforts et d’une formidable inventivité, la baie se couvre de moules de bouchots.
Ses saveurs uniques sont couronnées par une Appellation d’origine protégée.
Texte Jean-François Delaunay.
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Au milieu des années 1950, des femmes et des hommes intrépides entreprennent de cultiver des moules dans la baie du Mont Saint-Michel. Des familles charentaises et vendéennes s’expatrient même pour apporter leur savoir-faire et prêter main forte aux bretons.
En quelques années, au prix de nombreux efforts, la baie se couvre de bouchots où la moule prospère et développe des saveurs uniques couronnées aujourd’hui par une Appellation d’origine protégée liée à un terroir d’exception.
25 €
Les Dames de la côte, les villas de Dinard
Le seul ouvrage photographique sur les villas de Dinard. Aujourd’hui classées, les villas de Dinard rivalisent d’audace et d’élégance.
Voici plus d’un siècle, Dinard a vu fleurir des maisons fabuleuses nées de l’esprit conquérant et inventif des premiers colons du site balnéaire. L’aristocratie et la grande bourgeoisie anglaise et française inventaient un art de vivre qui présageait ce que nous appelons nos vacances. Aujourd’hui, « les dames de la côte» se laissent contempler depuis d’exquises promenades le long de la mer ou dans leurs paisibles quartiers. Majestueuses, élégantes, chics mais aussi audacieuses, baroques et chatoyantes, elles paradent dans un perpétuel défilé Haute couture dont chaque pièce est unique. Venez y assister au premier rang.
Photographies Patrice Latron, texte Christian Fraud.
Format beau-livre (29 cm X 23 cm), couverture souple avec rabats, 300 photos, 160 pages.
Epuisé
Indisponible
Le Gallic Dinard
L'inauguration en juin 1927 du Gallic Hôtel est le premier grand manifeste du style Art Déco à Dinard. Cet hôtel était et reste l'expression la plus accomplie de l'esprit d'une époque éprise de créativité, de nouveauté et de mouvement. Pablo Picasso, l'un de ses illustres clients, y avait ainsi trouvé un cadre de séjour à la hauteur de sa force créatrice. Rendez-vous de la « café-society » anglo-saxonne et de l’aristocratie française, le Gallic Hôtel va incarner à Dinard, pendant douze années, le luxe, l'extravagance et l'art de vivre d'une société dont l'existence n'est qu'une longue fête ininterrompue. Le rêve se brisera trop rapidement, un 3 septembre 1939 à 17h00, précipitant ce monde insouciant et avec lui le Gallic, dans le chaos et le fracas de la Seconde Guerre mondiale. Cet hôtel au destin sacrifié traversera une longue période d'oubli, à l'image de l'époque dont il est un des symboles. Ce bâtiment, qui surprit ses contemporains et surprend encore, demeure de nos jours le plus important témoignage architectural Art Déco de l'âge d'or, que furent pour Dinard les Années folles.
18 €
Les 120 ans de l’agence Maison rouge.
Une agence immobilière fondée en 1895 qui produit son thé, so british ! L'histoire de l'agence immobilière Maison Rouge est indissociable de Dinard. Elle est fondée lors du plein essor de la station balnéaire en 1895 par Gilbert Smith, membre éminent de la colonie anglaise dinardaise. Très introduit dans le Dinard mondain, il en fait rapidement l'agence principale de la ville. Il a aussi l'idée de commercialiser des vins et des spiritueux mais surtout du thé de Ceylan à sa marque Maison Rouge qui renforce sa renommée.
18 €
La folle histoire de nos vacances
Un ouvrage historique et sociologique passionnant pour mieux comprendre l’histoire de nos vacances. La folle histoire de nos vacances commence lorsque de jeunes aristocrates anglais décident d’achever leur formation par un Grand Tour d’Europe. Elle se poursuit dans les eaux froides de la Manche avec les premiers bains de mer. Puis c’est l’épanouissement de la vie mondaine dans les villes thermales et les stations balnéaires, ou` se retrouve tout le Gotha européen : Dinard, La Baule, Biarritz.... Mais aussi Le Touquet, Capri ou Nice. On y croise des têtes couronnées, des capitaines d’industrie et des personnalités à la mode : Colette en Bretagne, Gabrielle Chanel à Deauville, Picasso ici et là. L’auteur, agrégé d’histoire, analyse le phénomène balnéaire.
19 €